L’espoir de trouver meilleure fortune ailleurs.
Albert Villeneuve s’embarque pour un long voyage vers les colonies avec sa femme et sa fille. Il accoste seul à Sainte-Madeleine, son moral et ses espoirs noyés loin derrière
lui.
Commence alors une nouvelle vie, faite d’alcool, de mensonges et de frustrations. Piégé sur cette île devenue prison, Albert fuit la folie vengeresse du sergent Arpagon et cherchera, sur la
route du café, la paix intérieure.
Petit Blanc est un conte cruel et onirique sur l’absence et les espoirs perdus. Nicolas Cartelet nous révèle la face cachée des cartes postales et de leurs couleurs chatoyantes.
le mot de l'éditeur
Subtil, poétique et violent.
Une œuvre réaliste, empreinte
d’un humanisme au bord du désespoir.
Un roman sur les douleurs de l’absence et la perte des illusions.
Un conte métaphorique sur les abandonnés.
quelques critiques
“Terrifiant voyage au bout de la nuit, entre l’enfer célinien et l’épouvante kafkaïenne...“
Christophe Bier,
France Culture / Mauvais Genres
“Le lecteur reste scotché de bout en bout, avec le phrasé de l’auteur comme lanterne et guide.“
Yoann Clayeux, Arlyo Mag
“Petit blanc entraîne le lecteur dans une colonie de fantasmes qui tourne au cauchemar et sur la piste d’un homme rongé par le deuil et la culpabilité.“
Nicolas Marti, What about a dragon
l'auteur
Le Point Pop a désigné Nicolas Cartelet comme l’un des auteurs à suivre de sa génération.
Son roman, Dernières fleurs avant la fin du monde, (paru en 2018) a été finaliste du Grand prix de l’Imaginaire 2019.
Nicolas Cartelet est aujourd’hui éditeur à Paris.